Je me souviens
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25 ans plus tard après l'annonce des résultats du référendum du 30 octobre 1995 j'étais abasourdi, sonné, groggy, consterné, attéré, abattu, accablé, bouleversé, renversé, terrassé, troublé... par ce rendez-vous manqué.
Les résultats par région et je suis particulièrement fier des 67% de ma région.
Tant qu'à moi,Parizeau avait raison: l'argent pis les votes ethniques ont fait la différence.
4 commentaires:
C'est venu tout près de réussir.
Si les québécois francophones avaient voté "oui" en plus
grand nombre,l'argent et les
votes ethniques n'auraient
pas eu cet impact.J'en veux beaucoup plus aux québécois de souche qui ont chié dans leur
caleçon au moment de voter.
J'pense au contraire que Pariseau
s'est royalement mis un pied
dans la gueule avec ses déclarations,en plus de
nuire gravement à l'option souverainiste par la suite.
Évidemment se donner un pays
ne règle pas tout,mais c'eût
été un bon pas en avant pour
s'assurer d'un avenir.
Sûr qu'on pourrait s'astiner longtemps sur les propos de Parizeau....
Pourquoi renier (parle pas de toi en particulier) Parizeau parce qu'il dit au sujet de l'argent que le "love-in" organisé dans les rues de Montréal à quelques jours du référendum à influencer le résultat et que 80% des anglophones et allophones ont voté "non".
On peut interpréter comme on veut. Tiens une piste: http://www.pum.umontreal.ca/apqc/95_96/drouilly/drouilly.htm
Je pense aussi que le "blastage" de Parizeau et le fait qu'il ne fut pas soutenu (en particulier par le pq) marque la fin d'un véritable débat politique au Québec. Le "TOÉ, TAIS-TOÉ" a repris le dessus.
Bon assez gratté le bobo.
Le discour de Parizeau c'est un sujet à n'en plus finir. Le soir du référendum j'ai travaillé dans un bureau de vote de l'ouest de l'île de Montréal. Dans mon pool il y avait quelque chose comme 203 NON, 2 OUI et 3 votes annullés.... Ça c'est du vote ethnique. Néamoins d'un point de vu politique son discours a été une sorte de désastre. Il n'a pas su trouver les mots justes, les mots que de nombreux partisans du NON et des gens du monde entier auraient trouvés admirables. Avec son discours il a transformé en défaite tranchée, ce qui au bout du compte était moins une défaite que cela pouvait sembler de prime abord.
Sujet sans fin en effet.
Je crois que ce soir-là
Pariseau n'a dit qu'une partie
de la vérité,maladroitement.
Lui qui d'ordinaire pesait
bien ses mots...
Sans le renier,(loin de là)
je reconnais son apport
important au Québec.
D'accord avec ton mot
Gaétan sur la fin du
véritable débat depuis
ce temps.
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