Pour désapprendre.
La réponse m'a sautée dans face en lisant du VLB ce matin. Comme l'explique Bibi: "C'est ce à quoi les livres, quand ils en sont vraiment, doivent servir: nous délivrer de nos idées reçues, de l'exotisme dont elles sont parées, et nous rapprocher le plus possible de la vérité, que je dis."
J'aime le cyclotourisme pour désapprendre donc et me réconforter dans l'idée que mes besoins de base peuvent être comblés en dehors de la société de surconsommation sans en pâtir.
Sûr qu'au retour de ma sortie de près de 40 jours en vélo, au début de l'été, j'étais content de retrouver le confort de mon foyer. N'empêche que quelques semaines plus tard je repartais à vélo. Qu'aujourd'hui encore, je désapprendrais. :-)
3 commentaires:
Génial. Désapprendre, oui, c'est ça.
C'est Bibi qui serait content de t'entendre ! Moi, partir en voyage me fait cet effet. Probablement que c'est encore plus fort en vélo. Oui, je vous crois, messieurs ... sur parole !
Quelle réflexion sage...
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