vendredi 17 juillet 2009

Samedi 16 mai 2009 à Campbellton


Je m'étais arrêté dans un parc pour manger une bouchée. Ils sont passés près de moi. Ils étaient beaux. Lui, tout au plus 13-14 ans, il portait une chemise fleurie et un pantalon jaune. Pas du tout le genre de pantalon pour faire du vélo. Elle, elle était debout sur les pogs de la roue arrière. Si jeune et déjà l'expression de la femme amoureuse et épanouie collée au visage. Ça m'a rappelé ma première blonde. Carole qu'elle s'appelait. Elle était dans les majorettes.

5 commentaires:

Mek a dit…

:0)
Oh, moi j'ai jamais eu une majorette !

jul+ln a dit…

Ahh, mes bras noués sur ses épaules, sa tête sous mon menton, collée à lui, que je me sentais invincible dans ces moments d'éternité, le coeur gonflé de sentiments trop grands, le corps vibrant de sensations inconnues qui mettaient du rose sur mes joues et du brillant dans mes yeux. Oh, oui, Gaétan, moi aussi, j'ai aimé me faire promener ainsi dans toute la ville tellement fière et heureuse!
Merci pour ce rappel de souvenirs vélocipédiques!
Au fait, c'est quoi l'équivalent de "blonde" pour un garçon?

Euh, moi, non plus, j'ai jamais eu de majorette!

Hélène

gaétan a dit…

Bonjour jul+ln,
par chenou je dirais chum. Comme dans: " Heille toé! Laisse mon tchom tranquille tabarnak." :-)

jul+ln a dit…

OK, merci,
je vais donc m'entraîner, ça devrait aller, je pratique déjà le "câlisse" avec délices.
dans le contexte, ma phrase à moi, c'est: dégage, je l'ai vu la première!
ça marche aussi...mais j'aime bien la tienne!

gaétan a dit…

:-)
Vive les échanges culturels!