vendredi 17 avril 2009

Salmigondis du vendredi

Hip hop tant k'tu voudras
Ce soir au café-théâtre le Grafitti de P-C il y a Taktika et l'Assemblée. Pas un spectacle pour les papis. N'empêche que leur album L'affaire Taktika joue souvent dans mon walk-man sur le tapis roulant ou le vélo stationnaire de la salle de d'gym.
Plutôt acheté, suite à l'insistance de ma grande fille, des billets pour la pièce de théâtre Le baiser de la veuve présenté le 5 mai prochain. Pièce d'israel Horovitz avec Antoine Bertrand, Marc-François Blondin et Julie Beauchemin. Y sera question de pardon et de vengeance selon ce que j'en sais.
Clip de Taktika;

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Suite à l'achat d'un four à pain, la première fournée fut un désastre. Non pas de photo cette fois-ci. Je vous épargne la vue de cette chose difforme. Récidive ce matin.
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Le cyclotourisme c'est aussi un retour à l'essentiel: subvenir à ses besoins de base comme manger, se loger, aimé et être aimé. Le problème, avec la société aujourd'hui, c'est qu'elle crée des états d'insatisfaction que nous croyons combler avec les biens matériels.
Photo de mon épouse prise le 10 juin 2007 au camping municipal de Browsburg Chatham.

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Prévu une sortie en vélo d'une 20aine de km en p.m. Vive la retraite.
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2 commentaires:

Zoreilles a dit…

Merci de nous épargner la vue de ton pain raté! Mais ton épouse et ton lac, ça, par exemple, c'est une image de bonheur qu'on n'aurait pas voulu manquer.

Le baiser de la veuve, pièce où Antoine Bertrand joue merveilleusement paraît-il, j'ai entendu dire que c'était assez trash, ça jouait chez nous dernièrement mais je n'ai pas pu y aller. Tu vas nous en reparler?

J'ai beaucoup aimé ta réflexion au sujet des besoins qu'on se crée faussement et qu'on essaie de combler par du matériel, quelque chose du genre... Tellement vrai, ça.

Bon ben, bonne fin de semaine!

gaétan a dit…

Allo. J'arrive de ma sortie de vélo. Par -3 avec le vent me dit météo média.
Au matériel qu'on tente de m'assujettir j'ajouterais le syndrome de la performance que j'ai encore bien de la difficulté à lâcher prise. Au cours de ma randonnée de vélo mon machoin-truc speedomètre à cesser de fonctionner et pendant une 10aine de minutes je me suis gelé les doigts à tenter de trouver le problème sur le bidule. Tout ça pour connaître la vitesse à laquelle je pédale et les km parcourus. Pourtant ce trajet je l'ai fait des centaines de fois je connais sa distance de même que la vitesse approximative à laquelle je roule et j'étais là à m'obstiner à tenter de réparer le gugusse... Y a des habitudes plus dures que d'autres à se débarrasser....