mercredi 12 novembre 2008

Vlb gagne un prix et paie la bière

M'en prendrait peu pour traverser de l'autre bord. M'en aller partager un peu de folie. Retraité se cherchant désespérément une cause....
Pour le prix:

Communiqué
Embargo jusqu'au dimanche 9 novembre à 15 h

PRIX IMPÉRATIF FRANÇAIS

Victor-Lévy Beaulieu et Léandre Bergeron


Gatineau, le 9 novembre 2008 - Impératif français est fier de recevoir les auteurs Léandre Bergeron et Pierre Landry en compagnie de l'éditeur Victor-Lévy Beaulieu à l'occasion du lancement du livre Petit Manuel d'histoire du Québec 1534-2008.
Cet ouvrage est le fruit d'une collaboration entre Léandre Bergeron, auteur du Petit Manuel d'histoire du Québec paru en 1970 et Pierre Landry, poète, historien et directeur du Musée du Bas-Saint-Laurent - une œuvre revue et augmentée de la dernière édition du Petit Manuel en 1977.
À l'occasion de ce lancement à la Maison des auteurs, Impératif français décerne à l'auteur et éditeur Victor-Lévy Beaulieu et à l'auteur Léandre Bergeron le Prix Impératif français. Cette distinction est remise à une personne ou un groupe qui s'est illustré par sa contribution exceptionnelle à la promotion de la langue française, à la francophonie ou au rayonnement de la culture d'expression française. Cet hommage a déjà été rendu à Raymond Lévesque, à Viola Léger et à Louise Beaudouin.
Impératif français est très heureux de remettre cette année le Prix Impératif français à Victor-Lévy Beaulieu en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle au rayonnement de la littérature québécoise et à Léandre Bergeron en reconnaissance de sa remarquable contribution à la promotion de la langue française.
Pour plus de renseignements sur Victor-Lévy Beaulieu, veuillez consulter les sites Web www.victor-levybeaulieu.com et www.editiontrois-pistoles.com, et sur Léandre Bergeron, le site http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9andre_Bergeron

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Sources :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Recherche et communications
Tél. : 819 684-8460 ou 613 282-7119
Imperatif@imperatif-francais.org


Pour la bière:

L’indépendance maintenant !

Trois-Pistoles, le 10 novembre 2008 — Les Grecs formaient leurs citoyens pour que chacun d’eux puisse prendre part à la bonne administration de la Cité. Aujourd’hui, nous déformons le citoyen pour qu’il ne puisse pas prendre part à la bonne administration de la cité.
Ce n’est donc pas une coïncidence si on trouve dans nos grands partis politiques autant d’incompétents qui deviennent députés et ministres sans avoir la moindre idée de ce que doit être l’État. Conséquence de cette incompétence : l’État devient un grand chaudron fêlé dans lequel on met n’importe quoi et qu’on brasse pour que vienne une soupe clairette, peu nourrissante parce que polluée au niveau de l’idée. Tout se ressemble désastreusement, mais rien ne rassemble vraiment. Le citoyen se sent floué et désorienté.
De quoi comprendre que, depuis une décennie, le citoyen désabusé ne veuille même plus voter. De quoi comprendre aussi que de plus en plus de citoyens écoeurés se présentent de leur propre chef comme candidats aux élections pour défendre cette liberté citoyenne dont on les prive aussi bien en politique que dans tout ce qui s’appelle participation. Depuis une décennie, les candidatures de citoyens indépendants ont plus que quadruplé dans les campagnes électorales. Elles risquent de se transformer bientôt en tsunami dont les vieux partis auront à se repentir amèrement.
C’est dans ce courant de pensée que je me porte candidat indépendantiste indépendant dans le comté de Rivière-du-Loup. Mon credo est simple : parler d’indépendance et en parler pour vrai… MAINTENANT !
Voilà pourquoi vous ne verrez pas de pancartes affichant ma binette sur les poteaux et le long des routes du comté. On doit abolir cette pollution par l’image qui contribue à écoeurer le citoyen plutôt que de lui redonner cette fierté nationale qu’il a perdue. Pour qu’elle lui revienne, je propose aux citoyens québécois d’afficher devant chez eux notre drapeau national afin que tout le Québec en devienne fleuri, ce qui démontrerait que l’idée du peuple, de la nation et de la patrie, même durant une campagne électorale, est au-dessus de la politique partisane.
Voici maintenant comment j’entends faire campagne et ce que je crois pouvoir y apporter de neuf.
Mon quartier général sera dans la grande maison que j’habite au 31 Route nationale est, paroisse Notre-Dame-des-Neiges aux Trois-Pistoles. Tous les citoyens pourront y venir, particulièrement le dimanche à compter de 13 heures : ma maison sera la leur, et l’on pourra y discuter de l’indépendance MAINTENANT en toute liberté. Tous les dimanches, j’y annoncerai, par thèmes, ce que je préconise comme programme politique pour le comté de Rivière-du-Loup.
Je ferai par ailleurs le tour du comté et je rencontrerai tous les citoyens et les groupes qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la campagne électorale, le citoyen pourra consulter notre site (www.vlbcandidat.org) et, d’ici quelques jours, prendre de nos nouvelles sur Facebook. Pour ceux que l’incompétence et la veulerie des vieux partis ont assoiffés, nous aurons la bière L’Indépendante pour les ravigoter du gorgoton.
Et surtout, n’oubliez pas : c’est dimanche prochain, le 16 novembre, que je vous attends chez moi à compter de 13 heures, car l’indépendance c’est maintenant qu’on s’y met pour vrai ! Vive le peuple, vive la nation, vive la patrie du Québec enfin indépendants et libres !
(pour informations : 1 (418-851-8888) ; vlb2000@bellnet.ca)

5 commentaires:

Venise a dit…

L'admiration ne peut que se soulever, et le chapeau aussi, devant l'engagement d'un VLB.
Il n'a pas peur d'ouvrir large ! Les portes de sa demeure, accueillir les gens chez soi, ça veut dire beaucoup quand même.

Il y en aurait vingt comme lui que ça changerait peut-être pas la couleur des feuilles des arbres mais d'autres couleurs peut-être.

gaétan a dit…

Bonjour,
oui un peu de couleurs vives dans cette campagne aux tons argent.

gaétan a dit…

N'ai pu m'empêcher de consulter votre profil blogger.... Eastman, très beau coin que j'ai fait en vélo en 2004. Avions couché, moi et mon épouse, au chalet d'un couple de cyclotouristes croisés un an auparavant dans le BSL. Professeur de leur état, ils nous avaient hébergés au lac d'Argent.
De ce coin je retiens la beauté de Magog (gite la maison verte) et les nuits couchés à l'université de Sherbrooke où règnait, à l'étage de notre chambre, des odeurs toutes africaines.
bonne journée si vous repassez.

Venise a dit…

Je repasse toujours là où je laisse des traces :-)

Je ne me lasse pas de la beauté de cette région. Le Mont Orford toujours à se mirer dans le Lac d'Argent sans jamais pavoiser ! Il nous jette son regard solide qui nous rassure sur le monde qui peut toujours tourner sans nous.

Je le vois de mes fenêtres quand les feuilles tombent. C'est notre réconfort d'hiver. Quand je pense que j'habitais Montréal voici 4 ans, quel contraste quand même !

Zoreilles a dit…

Mon commentaire ira cette fois dans le sens de l'admiration que je voue à mon concitoyen, Léandre Bergeron, un homme libre, controversé, contesté, trop souvent incompris, qui n'a pas peur de se lever debout pour les idées dans lesquelles il croit et pour lesquelles il milite sans relâche. Il a fait plusieurs petites révolutions. On devrait écouter davantage ce qu'il a à dire.

Je suis contente qu'on ait reconnu, pour une fois, son apport incontestable à notre société, notre culture, notre langue et notre environnement.