mercredi 24 septembre 2008

Vos gueules et votez harper

Après les artistes, les jeunes, les athées, les femmes, les pauvres, les autres...

7 commentaires:

Gomeux a dit…

Ooooooh les souvenirs.
J'ai des flashs back.
Ah les astis.
Les astis de calisse.

Merci Gaétan.
J'avais jamais vu ce truc de Boivin.

gaétan a dit…

Ça devait être tout un thrill! J'ai toujours regretté de ne pas avoir clenché pour québec dès que j'ai vu les premières confrontations à la télé le vendredi p.m. J'ai l'impression d'avoir manqué quelque chose d'important. Je n'accepte même pas l'excuse de l'éloignement....

Gomeux a dit…

C'était tout un réveil pour moi en tout cas.
La démocrassie à l'oeuvre!

Mek a dit…

J'y suis arrivé le jeudi midi. J'étais patron, à l'époque, et j'avais fermé la boîte pour monter là. Vraiment un des plus grands chocs de ma vie. Je revois ces images et je sanglote immédiatement.

Merci, mon beau Blais. Merci.



ps
Chrétien parle de 34 pays. Il en manque un, devinez lequel ?!

gaétan a dit…

Heee Cuba?
Oui toute une démocratie. Faut voir aussi tout le service policier autour de certains candidats aux élections. Le monde n'a pas conscience de ce qui se passe. La concentration des médias est trop forte. Y reste internet pour s'informer mais pour combien de temps encore avant que la maudite machine y mette sa grosse patte....

Mek a dit…

Aaaah ses pattes y sont depuis la première minute, avec l'idée erronnée de pouvoir tirer la plogue en temps et lieu, ou l'impression tout aussi fausse que ce qui arrive là-bas, ne compte pas. Ça compte. Les mentalités, peu à peu, dix à la fois, changent.

Je crois peut-être au prochain pas de l'évolution. Homo transitus, disons. Entre le moron que nous étions à la naissance et l'enfant autonome, responsable, et non-aristotélicien qui pourrait surgir. Ouais.

gaétan a dit…

Les mentalités changent sur le web mais suffit de se promener sur quelques forums où les gens jasent de tout et de rien et d'émettre des commentaires un peu en contradiction avec la loi et l'ordre pour que surgissent les défenseurs de la bête.