dimanche 11 janvier 2015

Condamné à m'entraîner

Le chronomètre du tapis roulant marquait 28:15 quand j'ai ressenti le rush d'endorphine se répandre dans tout mon corps. Un peu comme une bulle de champagne qui éclaterait dans mon cerveau. Mes poumons se décrassaient,  je n'avais plus mal aux genoux. Je souriais béatement. Tout était clair dans ma tête.

3 commentaires:

Venise a dit…

En autant que le lendemain, tu ne sois pas sur les genoux ! Moi, cela serait le cas.

manouche a dit…

Vas y Papy, vas y té bon lalalala...

gaétan a dit…

Un peu de marche rapide sur un tapis roulant c'est assez pour un bon buzz. J'espère que vous ne pensiez pas que je courrais hahaha...