Voilà. Tout est là. Je pense que ça représente assez bien le bilinguisme canadien.
Photo prise en Alberta entre Golden et Lake Louise
Photo prise en 2009 près de Charlottown sur Prince Edward Island
Je suis quand même pas naïf. J'avais fait une croix sur la possibilité de me faire servir en français dans les épiceries, terrains de camping, motels et kiosques d'informations touristiques où je passais.
De Vancouver à Nipigon (mon trajet se poursuivant dans le nord de l'Ontario où ça jase autant français qu'anglais), ça va parler chinois, tamoul, autochtone dans les lieux publics et touristiques bien avant le français.
Me semble qu'en tant que gouvernement je me serais gardé une petite gêne et que je n'aurais jamais permis l'affichage de ces panneaux de signalisation routière. À moins que se cache derrière cette maladresse le fond de leur pensée et tout le respect du fait français dans ce "beau et grand" pays.
Bilinguisme de façade qui contente M.Pitou pis Mme Minou.
P.S
Durant mon voyage il m'est arrivé de sentir de l'impatience et, en de rares occasions, du mépris devant ma difficulté à bien parler l'anglais dans les commerces. Mais j'ai vu aussi des efforts de la part de gens à me faciliter la chose.
Donc pour moi il s'agit d'un match nul par devers le préjugé que les Québécois sont mal reçus dans le reste du pays. La plupart du temps j'étais servi dans l'indifférence. Money talks....
2 commentaires:
J'avais hâte de te lire sur ce sujet du bilinguisme.
J'aurais aimé que tu développes davantage mais bon ... c'était du bonbon quand même ! :-)
Peut-être plus tard ...
Mettons qu'au Canada il y a une langue plus négale que l'autre.
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