mardi 16 mars 2010

Personne en parle

Serait peut-être temps de faire avancer l'histoire de ce roman-feuilleton sur l'intimidation et le taxage sur les chantiers de construction de la Côte-Nord.
Pourquoi ce silence des entrepreneurs et d'Hydro-Québec ? Serait-ce que le système en place fait leur affaire ? Que les chantiers tournent rondement un peu beaucoup grâce aux bullés décriés ? Qu'ils profitent eux aussi de ce "climat de terreur" ?
Et puis y a les élus régionaux et autres intervenants économiques de la région qui dénoncent bien timidement que certains de leurs travailleurs locaux ne peuvent pas travailler sur les chantiers près de chez-eux.
Ces représentants civils et économiques pourraient venir nous jaser d'un autre système de taxage: celui des chambres louées aux travailleurs extérieurs à $500./semaine et des maisons à $4000./mois
Christian "Taupin" Latreille et Alain "Bécik" Gravel devraient faire Enquête.... :-))
Sur ce, "Bon appétit messieurs" :-)Texte Victor Hugo Musique Vincent Meillon

3 commentaires:

Zoreilles a dit…

C'est une boîte de Pandore, cette histoire, n'est-ce pas? Ça vient placer les projecteurs sur ce qui existe depuis si longtemps et dans toutes les régions du Québec, on n'arrête pas d'en apprendre des vertes et des pas mûres.

La CSN Construction, c'est pas mieux, c'est pour ça qu'ils se tiennent tranquille...

Bref, toutes nos institutions n'ont plus aucune crédibilité, le gouvernement Charest en tête.

gaétan a dit…

C'est vrai que les institutions prennent une débarque. L'émission Enquête s'attaque à la Croix-Rouge bientôt.
Peut-être tout cela annonce-t-il la fin d'une époque. La corruption à marqué la fin des pays communistes. Plus le temps passe et plus la corruption ici atteint des bas-fonds insoupçonnés.
J'espère pour mes enfants que les bases de la prochaine société seront solides et justes.

Yvan a dit…

Je nous le souhaite aussi Gaétan
à l'avenir.
En attendant c'est encore pire,
Charest en tête.
Pourquoi pense-tu qu'il résiste
à une enquête publique sur
la construction et ses malversations?

Son gouvernement s'enlise
dans ses réponses niaises
du: "Laissons faire la police".
Mais la police elle-même le dit depuis des mois:"il faut une enquête publique".

Hihi.Johnny Boy a peur,
très peur.