mercredi 8 mai 2013

7*C T ressenti 4*C

C'est ce qu'affichait l'écran de mon portable à mon retour.  J'avais prévu le coup et j'étais parti sur mon vélo bien habillé. Pour faire changement des pistes multi-fonctions j’avais pris la route 138 question de ne pas croiser de piétons et autres pousseuses de carrosses ou encore ce qui semble devenu dans mon ti-village une mode ou du moins une tendance c'est-à-dire des hommes qui promènent au bout d'une laisse des bêtes de deux livres deux livres et quart et qui portent des noms de pitou. Les bêtes pas les hommes quoique...
Gros plan nord ou petit plan nord la 138 était toujours aussi passante de poids lourds et avec un accotement asphalté variant entre 24 et 48 pouces je ne ferai jamais la promotion de mon coin de pays à d'autres cyclotouristes les beautés y étant beaucoup trop chèrement payé côté sécurité à cause justement du flux des mastodontes qui approvisionnent les gros projets comme La Romaine, l'aluminerie et les minières qui, avec le nouveau plan fiscal paieront peut-être des impôts mais pas nécessairement leur juste part mais bon je m'égare puisque je voulais raconter que ce matin j'étais parti en vélo sur le gros plateau que j'étais gonflé à bloc par un vent camarade et que le retour s'était  fait en mode cyclotouriste langue à terre.

1 commentaire:

Grand-Langue a dit…

Faut toujours payer pour nos plaisirs. Une descente signifie une remontée, un vent de dos nous fera face au retour... etc.

Chez nous c'est pareil: cette manie qu'ont les gens de marcher sur la piste cyclable avec leurs clébards. Pas rare de voir deux adultes, rarement des jeunes, marchant en plain milieu de la piste avec chacun un toutou attaché à leur laisse et tirant chacun de leur côté. Donc, aucun espace pour les cyclistes et autres utilisateurs de la piste ne peut les dépasser.

Faudrait un klaxon de camoin sur mon guidon!

Grand-Langue