jeudi 30 janvier 2014

MAIS qu'est ce que tu ne comprends pas dans "PAS DE COMMENTAIRES" ?

T'es pas une floune de 12 ans me semble. Pis dire que j'ai pris la peine de titrer "Sous le prétexte de...." pour faire sûr que tout le monde comprendra.....argh................
En attendant la zone de commentaires est bloquée pour quelques jours.

dimanche 26 janvier 2014

Sous le prétexte de mes dernières lectures de chevet

J'ai pas écrit grand chose ici depuis un bon bout  de temps.  J'ai plutôt passé mes temps libres à lire. D'abord une relecture de Vamp de Christian Mistral. M'arrive de relire les livres que j'ai aimé et trouvé bien écrit. Ensuite je me suis tapé En cheminant avec Hérodote de Jacques Lacarrière. Zzzzz. Faire ma langue sale je dirais que le Pentateuque de l'Ancien testament m'avait plus accroché. J'espérais tant de ce livre sur la Méditerrannée dont je rêve de faire le tour à vélo ou en sac à dos. De retour au pays j'ai savouré voyager dans le taxi de Carnaval de Kawi Hage même si j'ai décroché à quelques reprises. Et  puis l'envie de voyager étant toujours présent il y a eu Immortelle randonnée- Compostelle malgré moi de Jean-Christophe Rufin. Dans son récit de voyage l'académicien empruntait le Camino Del Norte, ce qui m'avait motivé à le lire puisque j'avais envisagé cet itinéraire moins fréquenté par les pélerins lors de mon périple à vélo en Europe au printemps 2012. Ni lui ni moi ne semblent avoir vécu de réveil spirituel suite à cette visite à St-Jacques. Comme je n'étais pas au Québec pour une bonne partie du printemps érable j'ai cru en apprendre plus avec Tenir Tête de Gabriel Nadeau-Dubois mais peine perdue. Je me fie souvent  au cahier Livres du Devoir pour mes choix de lecture. Et à Pierre Foglia.  J'ai lu Le quatrième mur de Sorj Chalandon suite à une de ses chroniques. C'est d'ailleurs ce livre, très dur (âmes sensibles s'abstenir) que je lisais au chevet de ma mère aux soins palliatifs durant la période des Fêtes. Pendant que Georges, incapable de monter la pièce Antigone, était témoin des violences à Beyrouth moi je regardais la mort et sa complice la morphine ravager  le visage de ma mère. Puis un soir je ne l'ai plus reconnu. J'ai quitté la chambre en l'embrassant  sur le front et je lui ai souhaité un bon voyage. Je n'avais plus l'intention de revenir veiller cette inconnue. Le lendemain matin je suis rentré au travail comme à l'habitude et ça faisait pas une heure que je travaillais qu'une connaissance est venue me dire que ma famille tentait de me rejoindre. Voilà. Pas de commentaires s.v.p