Je suis un gars de la Côte Nord et aller aux bleuets fait partie de mes plus anciens souvenirs. Jeunesse j'ai cessé cette activité pour la reprendre marié. On amenait les flos. Mais il se sont tannés assez vite. Moi et marjo avons continué un certain temps.
Je trouve qu'il y a quelque chose d'intime à cueillir soi-même ce que la nature nous offre. Un jour, dans pas long, j'pense que j'vais m'faire un jardin derrière la maison.
En attendant, j'achète mes bleuets à la bleuetière où Marjo travaille.
* recette de grand-père aux bleuets sur ce blog de grands chefs inconnus
4 commentaires:
Joli nom pour les myrtilles !
Chez nous, la saison des bleuets n'a pas été bonne, à cause du redoux de mars, du gel pendant la floraison et de la sécheresse qui a suivi. Mais j'en ai trouvé quand même assez pour me faire ma petite réserve.
La bleuetière de Guérin (au Témiscamingue) a subi des pertes de 90 % de sa récolte. Je pense que ce qu'on retrouvera sur les marchés cette année, ce seront les bleuets du Sag-Lac et ceux de la Côte-Nord!
J'ai appris récemment qu'il y avait plus de terre propices à la culture du bleuet ici qu'au lac St-Jean. Surprenant.
Les bleuets du Sag-Lac ont une réputation surfaite!
Y en a des fort goûteux aussi dans d'autres régions, entre autre au nord du 48e parallèle, les heures d'ensoleillement sont plus longues, donc les petits frutis plus sucrés!
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