Sur le Camino portugais en 2012 j'avais promis à mon Ti-Jésus que nous reviendrions. Rien que lui et moi. À pied. Sans le vélo. Et par un autre chemin. L'accolade au buste du matamore dans la cathédrale de Santiago avait scellé le pacte. Qu'importe que les os ou que les pieds de l'apôtre n'aient jamais foulé ces lieux, j'aspire à l'espoir que l'immortalité existe et qu'elle se trouve quelque part sur le chemin de Compostelle. Au loin les flammes.
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