Ça faisait j'sais pas depuis combien de temps que le livre trainait face contre terre sur une tablette de ma bibliothèque. Ce n'est pourtant pas parce que le sort d'Abel Beauchemin ne m'intéressait plus après La grande tribu et Bibi - j'étais juste pas prêt - mais lire la saga des Beauchemin c'est un peu comme participer à un marathon: ardu et jouissif - à faire jaillir le blanc-mange sur une Table de pommier - du genre de plaisir que procure ce deuxième souffle quand je m'entraine en cardio assez longtemps pour atteindre ce plateau de bien-être physique et mental - pipée d'opium - dont je ne veux plus redescendre.
Je ne demande pas mieux que d'aller rejoindre la Grande tribu dans ce village utopique inspiré de l'architecte nicolas ledoux tant la renaissance d'Abel Beauchemin m'inspire. Merci VLB.
3 commentaires:
La Grande Tribu fut ma lecture de l'été passé. En parallèle du Nez qui vogue. Ces deux-là touchent à l'âme du peuple. Tu as les mots justes : ardu et jouissif. Fuir, s'éfuir, s'enfuir. C'est la faute à VLB! J'attends mon heure pour retraverser comme du monde son James Joyce...
Pas lu James Joyce mais j'en ai entendu parler en bien. Peut-être plus tard.
Établir un parralèle entre ces deux auteurs n'est pas erroné. Il faut de la concentration pour les apprécier, une relecture attentive pour tout saisir.
Je n'ai pas tout compris, de l'un et de l'autre, j'ignore si je les relirai.
Lise Bissonette affirme que VLB est NOTRE GRAND AUTEUR. J'ai beaucoup de respect pour la dame qui en a vu (et lu) d'autres. Cependant, je dois avouer ne pas en être là, pas encore.
Grand-Langue
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