Entre les sollicitations d'entrepreneurs qui aimeraient bien m'avoir sur leur payroll, le peinturage chez mes vieux parents et le remplissage de mes sacoches de vélo pour un xième tour de la Gaspésie, il m'arrive d'écouter de la miouze.
Entendu hier après-midi sur une chaîne de radio habituellement fréquentée par les amateurs de musique classique du "Monsieur" Marcel Martel et quelques commentaires sur le film "Un beau sans-coeur" avec Gildor Roy.
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