Je viens de terminer la lecture de "L'astragale". Le roman de Albertine Sarrazin se lit très bien, sur la patio comme à la plage et l'argot décrivant le milieu des truands est facile à comprendre et rappellera à la mémoire l'ambiance des bons vieux films de gangsters des années 70 avec les Lino Ventura, Paul Merisse et autres voyous du cinéma français.
L'intrigue
Anne saute le mur de la prison et se brise la cheville. Julien, qui passait par là, lui vient en aide. De planque en planque, l'évadée tombera amoureuse de son sauveur, un truand qui, tout en assurant sa fuite, est souvent absent.
Bref
Moins une histoire d'amour que la description d'un milieu renfermé sur lui-même avec l'entraide généreuse mais aussi ses petites trahisons.
La lecture de cette oeuvre m'amène à la réflexion que l'amour peut aussi être une prison selon l'état d'esprit dans lequel il s'épanouit et, dans une moindre mesure et sur un ton léger, que de ne pas pouvoir me déplacer librement (à cause de ma fracture, par exemple) c'est aussi être emprisonné... :-)
Pour accompagner le tout...
3 commentaires:
J'avais visionné à l'époque, le film avec Marlène Jobert.
Je voulais ajouté un extrait de film à mon texte et je n'en ai trouvé aucun.
Je me rappelle de film Marlène Joubert et ses points de rousseur... et sa voix particulière.
J'aime bien les parallèles que tu établis en rapport avec ta lecture... Avec l'amour et avec ta situation présente...
Tu dois trouver l'été long... sans voyage à vélo...
Bonne journée
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