mercredi 14 janvier 2009

Bye bye numéro 6

8 commentaires:

Venise a dit…

Je veux un renseignement, je veux un renseignement ...

Des souvenirs. J'adorais cette émission, et tous les bouts que je ne comprenais pas importaient peu ; il était beau !

Si je comprends bien, il n'est plus prisonnier ... de son corps.

Mek a dit…

Eh, eh… Moi qui croyais que ça serait encore un truc sur le Bye-bye.

gaétan a dit…

Oui il s'est fait la malle. J'ai aimé cette série particulièrement l'épisode avec le gros ballon de plage.....
-tiré de ''Le point'':
Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre" n'est plus. Patrick McGoohan, auteur de ces deux répliques cultes dans la série Le Prisonnier est décédé mardi à son domicile de Los Angeles. Le plus célèbre des numéros 6, "était dynamique, pas encore juste bon pour la retraite. Il est resté occupé jusqu'au bout et avait récemment accepté deux nouvelles propositions de rôles au cinéma, mais est décédé après une brève maladie", a déclaré son agent Sharif Ali.

Anonyme a dit…

Gaétan,

j'ai écouté cette émission religieusement durant ma jeune adolescence ( version française ), et plus tard l'original.

J'avais compris que l' individualiste ( dans le bon sens du terme ) qu'était Patrick Mc Goohan dans la vraie vie, trouvait là un exutoire à ses frustrations.

Bon, il a trouvé à s'évader. Mais j'aimerais que quelqu'un m'explique le symbolisme de la finale, avec la musique des Beatles ( All you need is love ), et comment après tant d'efforts pour s'échapper dans les précédentes émissions, chacun est parti chez soi sans se retourner, comme s'il s'agissait d'un jeu.

De toute manière nous sommes tous des numéros...

gaétan a dit…

....nous sommes tous des numéros...pour l'état et les compagnies. Ce sentiment d'anonymat est peut-être moins senti en région.
Pour le symbolisme de la dernière émission j'avoue m'en rappeler trop peu.

Anonyme a dit…

Merci pour ta réponse Gaétan. Étant Nord-Côtienne d'origine, et ayant passé une année en Abitibi, dans ma famille proche, je suis bien d'accord avec ce que tu dis à propos du sentiment d'anonymat des grandes villes.

En région, les gens nous reconnaissent lorsqu'ils nous croisent, nous disent bonjour en général, qu'ils nous estiment ou pas. J'aimais tellement le sentiment d'individualité d'une petite ville, quand les gens disent que " tu es la fille de..., tu lui ressemble" ce qui donne un sentiment d'appartenance qui fait du bien.

Ici, à Montréal, les gens s'ignorent les uns les autres en général, chacun perdu dans sa bulle.

Et merci de rester le Gaétan des débuts, celui qui ne s'enfle pas la tête, ne prend pas son nombril pour le centre de l'univers, et n'insulte personne gratuitement. Si tu écris un livre un jour c'est sûr que je l'achèterai ! On est ce que l'on écrit, Zoreilles le dit bien, et elle a raison.

Désolée pour le long commentaire...

gaétan a dit…

:-)

Anonyme a dit…

:-)))