samedi 13 septembre 2008

Kronikers avec qui j'aimerais jaser en pédalant ou pédaler tout en jasant

Heu...non pas avec Foglia. Il y a quelques années peut-être mais plus maintenant. Ceux pour qui je prends le temps de bien m'installer avant de lire leurs propos sont Louis Hamelin, chroniqueur de littérature au Devoir et Jacques Lanctôt sur canoe. Avec ce dernier c'est une perspective souvent différente de l'actualité ou plus fouillée. En tout K voici ces 2 dernières chroniques ici et là.
Quand à Louis Hamelin, sa chronique d'aujourd'hui commence par: ''Les deux principales industries de la ville de Malartic, en Abitibi, sont l'or et les fous....'' C'est Zoreilles qui sera peut-être pas contente. Et, coincidence, pendant qu'elle parle de héron dans son blog, M. Hamelin parle de grue dans sa chronique. Faut croire qu'y a pas que les mines en A-T.

1 commentaire:

Zoreilles a dit…

Sans l'avoir lu, je cautionne à l'avance (c'est dangereux, ça!...) les propos de Louis Hamelin sur ma région. Pourquoi? Parce qu'il l'habite de tout son être, et donc, qu'il n'écrirait pas quelque chose qui serait basé sur le mépris, l'ignorance ou de quelconques préjugés crasses.

Je ne m'insurgerais pas si on écrivait des choses négatives mais vraies sur ma région. Là où je pète les plombs, c'est quand on la descend ou qu'on la méprise sans jamais y avoir mis les pieds!

Il a raison à propos de Malartic en tout cas et je suis convaincue qu'il doit bien l'avoir expliqué. Je sais ce qui se passe à Malartic et si ça se passait ailleurs, comme en Montérégie par exemple, les médias en feraient leurs choux gras depuis 6 mois...

Et l'Abitibi-Témiscamingue, c'est beaucoup plus que les mines en effet. Mais chez nous comme dans bien d'autres régions du Québec, et de par le monde, c'est l'argent qui mène dans l'exploitation des richesses de ce grand néant anonyme si loin de Montréal... et des médias.